L’enfer ou le Ciel ?

À vous de choisir !

 

Chaque année, le monde sombre un peu plus dans la folie. Et Halloween est l’un des pics de cette folie. Où que se porte Mon regard, Je vois des choses étranges et Je hoche la tête de dégoût. On se déguise en goules et en tout ce qu’il y a de pire, à qui sera le plus laid. Il y a de quoi se poser des questions, n’est-ce pas ?

 

Certains répondront qu’on a bien le droit de s’amuser. C’est une tradition ancestrale qui ne fait de tort à personne. C’est le moment de se défouler et de s’en donner à cœur joie, une façon d’extérioriser tous ses fantasmes de manière inoffensive. Sans oublier, bien sûr, que ça fait vendre !

 

Permets-Moi de te poser une question : d’où vient cette envie de faire de cette Terre un Enfer l’espace d’une nuit ? Je ne constate pas le même enthousiasme pour la transformer en Paradis. Pourquoi pas ? Et voilà une autre question, plus fondamentale : pourquoi la violence et l’oppression règnent-elles dans le monde tout au long de l’année ? Quelle est la source de tout ça ?

 

Vous savez sans doute que Halloween vient de « All Hallow’s Eve », qui en anglais signifie « la veille de la Toussaint ». À l’origine, il s’agissait d’une célébration qui avait lieu la veille au soir de la fête de tous les saints, fête très ancienne. C’est le jour où l’on honore tous ceux qui, au long des siècles, ont vécu et sont morts pour Moi et qu’on a oubliés pour la plupart. Alors qu’est-ce qu’il leur prend, à ces gens-là, de vouloir se déguiser en ces hideux personnages qui ont rendu misérable la vie de ces braves disparus ? Pourquoi faire ressortir le mal plutôt que le bien ? On pourrait penser qu’il y a quelqu’un qui se cache derrière tout ça. Qui donc ? Tu devines ? Je n’ai sûrement pas besoin de jouer au jeu des 20 questions pour te faire deviner. Mais alors pourquoi est-ce que les gens tombent dans le panneau ? Et toi, tu n’as pas un peu l’impression de te faire avoir ? 

 

À ce point, tu sais sûrement Qui s’adresse à toi. Oui, c’est Moi, Jésus ! Tu vas peut-être penser que Je suis un rabat-joie en parlant de la sorte, mais pas du tout. Je tiens vraiment à ce que tu puisses t’amuser. Je veux que tu sois aussi heureux qu’un gamin au matin de Noël. Dès l’origine du monde, vois-tu, J’ai été impliqué de très près dans la conception de l’humanité. C’est Moi qui pour ainsi dire en ai rédigé le mode d’emploi qui explique ce qui rend un homme heureux ou malheureux, et Je peux t’assurer que ce genre de glorification de l’horreur t’apportera très peu de joie. Ce que J’ai à te proposer est sans comparaison.

 

Tu vas peut-être te donner des sensations fortes à bon marché en effrayant un pauvre malheureux, mais Moi, J’ai bien mieux à t’offrir. Je te parle ici de vrai bonheur, d’un bonheur qui ne dure pas seulement l’espace d’une nuit ou d’une semaine, mais bien plus longtemps, si tu le souhaites. Et tu n’as besoin d’attendre d’être au Ciel pour connaître ce bonheur-là.

 

Oh, mais tu n’es pas sûr d’y aller, dis-tu ? Eh bien, d’ores et déjà, Je te remets une invitation en bonne et due forme. Je t’invite, par la présente, à venir au Ciel et à y vivre pour toujours ! Alors, tu acceptes ? Bien entendu, ce n’est pas forcément pour aujourd’hui, parce que d’abord tu dois mourir et Je me doute que tu n’es pas trop pressé. Mais rien ne t’empêche de vivre au Ciel ici-bas et dès à présent. Puis, à ta mort, tu pourras y déménager pour de bon.

 

Alors, tu veux bien tenter ta chance ? Pour aller au Ciel, il te suffit de passer par Moi. Te voilà perplexe… Eh bien, crois-le ou pas, Je suis la porte du Ciel. Il te suffit d’accepter que Je suis le passage et ça y est, tu es au Ciel.

 

Il y a bien longtemps, vois-tu, Je suis mort pour te payer l’entrée. Alors pour toi c’est gratuit. Il te suffit de croire que Je suis ton Dieu : c’est de cette manière que tu acceptes Mon invitation, et que te sera garantie une place dans le lieu le plus beau et le plus branché de tout l’univers. Il y a des gens qui, pour compliquer les choses et pour faire « religieux », parlent de « rédemption », de « salut » et tout le reste. Mais, restons simples, Tu n’as rien d’autre à faire que de croire en Moi et tu es au Ciel. Pas besoin de « religion ». Et J’aimerais ajouter que c’est pour de bon !

 

As-tu peur qu’en croyant en Moi et en M’accueillant dans ta vie, tu doives laisser passer les plus belles occasions de t’amuser ? Dans ce cas, tu n’es pas au bout de tes surprises. Tu n’as aucune idée combien au Ciel on sait s’amuser ! En attendant le Ciel, tu peux aussi t’amuser sur Terre. J’aime vous voir heureux, vous voir jouir de la vie et de ses plaisirs. D’ailleurs, Je ne suis pas en reste. Mais la clé du vrai bonheur, c’est d’aimer les autres.

 

Alors, penses-tu que ça en vaille la peine ? Acceptes-tu de croire en Moi. Acceptes-tu Mon invitation au plus grand bonheur qui soit pour cette vie et la suivante ? Dès à présent, faisons un Ciel de cette Terre !

―Jésus

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